TASQ, sponsor officiel de Catalin Safta, aka Aquaman

Quand la motivation s’essouffle, c’est la discipline qui prend le relais  

Catalin Safta, 27 ans, est un athlète hors pair. Couronné Champion lors du Championnat du Monde et d’Europe de ju-jitsu brésilien, ce père de famille établi en Suisse depuis 2014 nous a touché par son humilité, sa discipline et ses valeurs morales. Ses sports ? Le MMA et le ju-jitsu brésilien. 

MMA et ju-jitsu brésilien

Le MMA, acronyme anglais du Mixed Martial Arts, est un sport de combat complet, associant de nombreuses disciplines telles que le ju-jitsu brésilien, la boxe thaï ou bien encore la lutte.

Comme dans tous sports de combat, des règles strictes ont été mises en place pour assurer la sécurité des combattants. Un combat se déroule en 3 rounds de 5 minutes avec 1 minute de pause entre chaque round. Le combat s’effectue dans une arène fermée, aussi appelée cage, de forme octogonale. Loin des idées reçues, tous les coups ne sont pas permis en MMA ! Il est notamment interdit de frapper la colonne vertébrale, les parties génitales, la gorge et la nuque.

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Catalin Safta , TASQ

Contrairement au MMA, le ju-jitsu brésilien interdit de porter des coups à son adversaire. Le but de ce sport est de soumettre son rival grâce à différentes techniques telles que l’étranglement, la compression musculaire et les clés articulaires (clé de bras, clé de jambe). Le ju-jitsu brésilien est une discipline sportive régie par un système de points. Le score final est calculé en faisant la somme des points obtenus par l’exécution parfaite de diverses techniques. Autre différence avec le MMA, les affrontements au ju-jitsu brésilien se déroulent sur un tatami de forme carrée.

Loin de l’image sulfureuse du « Fight Club » du film éponyme de David Fincher, le MMA est une discipline transverse qui réunit les techniques de nombreuses disciplines pugilistiques martiales et de sports de combat. Le MMA trouverait ses origines avec le pancrace, un sport de combat permettant au temps des Jeux olympiques antiques de pratiquer quasiment toutes les techniques de combat. Plus récemment, on attribue sa forme moderne à la mise au point du ju-jitsu brésilien dans les années 1920 au Brésil. D’abord exportée dans les années 1990 aux États-Unis puis en Europe, la pratique du MMA connaît une progression fulgurante ces dix dernières années, tant en nombre de pratiquants que de spectateurs. La pratique et les compétitions de MMA sont autorisées en Suisse depuis de nombreuses années, mais certains pays tels que la France ou la Thaïlande n’ont accepté que très récemment d’en encadrer la pratique et d’autoriser la compétition.

L’entraînement nécessite un effort physique mais aussi mental

Un sportif polyvalent et rigoureux

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Catalin Safta , TASQ 2

La pratique du MMA et du ju-jitsu brésilien impliquent la connaissance de nombreuses techniques, sollicite le système cardio-vasculaire ainsi que tous les muscles du corps. Un programme complet en somme ! En tant qu’athlète, Catalin porte une attention accrue à son hygiène de vie. Combattant dans la catégorie de poids des -70kgs, aussi appelé light weight, il suit un programme d’alimentation strict, un planning d’entraînement sérieux et suit également un coaching mental avec une professionnelle. Une bonne hygiène de vie est d’autant plus importante que son activité ne se cantonne pas à sa carrière d’athlète professionnel. Le sportif donne également des cours privés ou collectifs dans divers clubs de Suisse romande. Des journées bien remplies qui commencent tôt et finissent tard avec toujours le souci de dégager du temps pour passer un moment de qualité avec sa femme et son jeune enfant. Loin d’un quotidien monotone rythmé par des horaires de bureau imposées, Catalin apprécie la frénésie de ses journées, toujours placées sous le signe de sa passion sportive. 

Catalin promeut les valeurs de ses disciplines sportives au quotidien. Le ju-jitsu Brésilien est indissociable de sa culture de bien-être envers les autres et envers soi-même et véhicule les valeurs du respect, du partage et de l’esprit de communauté. Le combattant, qu’il soit professionnel ou amateur, se doit également d’être polyvalent, de prendre des habitudes saines pour prendre soin de soi afin de mieux progresser. Cela implique de manger sainement, travailler dur et avec régularité mais aussi de savoir reposer son corps. L’entraînement est également un excellent moyen de se ressourcer, d'expulser les ondes négatives pour les transformer en énergie positive. Il permet aussi de renforcer son assurance et sa confiance en soi. Une confiance en soi loin de toute arrogance, cultivant donc la capacité d’admettre ses limites et les assumer sereinement pour pouvoir les transcender.

La pratique du MMA ou du JJB n’est pas réservé à un cercle restreint ! Au-delà de la force brute, c’est la technique qui permet à tout un chacun ou chacune d’outrepasser les différences physiques avec l’adversaire

Des valeurs communes qui ouvrent la voie à un sponsoring

C’est en 2020 que Paul, fondateur de TASQ, fait la connaissance de Catalin au détour d’une séance  au club Fight Factory de Lausanne. Désormais entraîné par l’athlète, Paul découvre au fur et à mesure le parcours de son coach, sa philosophie et ses valeurs. Au cours de ces échanges, les deux pères de famille passionnés par leur métiers, vivant un quotidien riche en rencontre et en événement se trouvent alors une multitude de points communs. Les valeurs véhiculées par TASQ en tant que jeune entreprise dynamique collent parfaitement avec la vision de Catalin : polyvalence, confiance, esprit d’équipe, passion, équilibre entre vie privée et vie professionnelle, discipline, état d’esprit porté vers le positif et le dépassement de soi… 

Il n’en fallait pas plus pour le fondateur de TASQ pour prendre la décision de devenir le sponsor officiel de Catalin Safta, l’accompagnant ainsi dans ses compétitions nationales et internationales. 

Actuellement, Catalin se prépare pour son prochain combat.


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